Elections Départementales du 22 et 29 mars 2015 Canton de Coulommiers, Hélène TRAN QUAN & Yvon TREGOAT candidatEs, notre programme, nos propositions >
Plus de proximité
Pour plus de proximité, les écologistes proposent d’inscrire la politique départementale dans une vision renforçant le rôle et la place des intercommunalités.
Dès son installation, l’assemblée départementale désigne des référent-es choisi-es en son sein pour la représenter sur les territoires de chaque intercommunalité. Ces référents assureraient un lien avec les partenaires du conseil départemental sur ce territoire (collectivités, associations, acteurs économiques) et les habitants ou usagers des services départementaux.
Nos propositions phares
Instaurer des conseils de citoyens/usagers
des services du conseil général à l’échelle des cantons
— Les élu-es écologistes s’engagent à mettre en place dans leur canton (et au niveau départemental s’ils en ont les moyens) un conseil des acteurs du territoire pour les accompagner tout au long de leur mandat.
Le référendum et le droit d’initiative locale
— Le droit d’interpellation des citoyens : à partir d’une pétition signée par 5% d’habitant-es issus de plus de 10% des communes du département, la demande est abordée en séance publique du conseil départemental.
— Le droit de référendum d’initiative locale : à partir d’une demande signée par 15% d’habitant-es issus de plus de 20% des communes du département.
Une gestion nouvelle, plus démocratique et plus efficace des politiques sociales
— Mieux organiser la cohérence en matière d’action sociale et médico-sociale : l’impact des différentes réformes passées et en cours relatives à l’organisation sociale et médico-sociale génèrent des fractures territoriales, nuisant à la cohérence des interventions du parcours social, professionnel et de santé. Il en résulte des interventions fragmentées dont la séquence correspond rarement aux besoins globaux des citoyens.
— Organiser le décloisonnement des politiques sociales, d’hébergement et de l’autonomie au sein du département : C’est une nécessité avant tout sociale mais également économique. Une juste articulation avec le conseil régional est nécessaire pour faire cohabiter le développement économique et social régional et l’action sociale départementalisée. Pour remédier au cloisonnement des politiques sanitaires et sociales, une plus grande cohérence sera recherchée dans la programmation et les financements de l’Agence régionale de santé.
— La réorganisation des politiques sociales locales doit privilégier l’intérêt des citoyens et leur implication aux décisions publiques.
— Il s’agit de prendre en compte chaque résident du département non plus comme un bénéficiaire d’une prestation d’action sociale mais comme un acteur disposant d’une capacité délibérative
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